L'an dernier, le 29 juillet marquait le Jour du dépassement des ressources planétaires 2021.
Que peut-on faire?
Durant l’entre-deux tour de la présidentielle, E. Macron avait évoqué l’idée d’une planification écologique. L’objectif étant d’aller "deux fois plus vite" dans le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Mais là, nous consommons de plus en plus vite les ressources de notre planète et notre impact ne réduit pas assez. Cela a conséquences graves.
Un article scientifique indique que les modèles de prévision climatique estiment que pour chaque degré de réchauffement gagné, le cycle de l'eau s'accélère de 7 %. Concrètement, cela veut dire que les zones humides seront 7 % plus humides, et les zones sèches seront 7 % plus sèches. Des estimations qui s'accordent avec les dernières prévisions du Giec sur les conséquences envisagées du changement climatique : si l'humanité arrive à limiter la hausse des températures à 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels (sachant que nous sommes déjà à 1,2 °C), les phénomènes météo extrêmes seront de toute manière 14 fois plus forts comparés à ce qu'ils étaient au début de la révolution industrielle.
Durant l’entre-deux tour de la présidentielle, E. Macron avait évoqué l’idée d’une planification écologique. L’objectif étant d’aller "deux fois plus vite" dans le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Mais là, nous consommons de plus en plus vite les ressources de notre planète et notre impact ne réduit pas assez. Cela a conséquences graves.
Un article scientifique indique que les modèles de prévision climatique estiment que pour chaque degré de réchauffement gagné, le cycle de l'eau s'accélère de 7 %. Concrètement, cela veut dire que les zones humides seront 7 % plus humides, et les zones sèches seront 7 % plus sèches. Des estimations qui s'accordent avec les dernières prévisions du Giec sur les conséquences envisagées du changement climatique : si l'humanité arrive à limiter la hausse des températures à 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels (sachant que nous sommes déjà à 1,2 °C), les phénomènes météo extrêmes seront de toute manière 14 fois plus forts comparés à ce qu'ils étaient au début de la révolution industrielle.